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Les Majestés de Versailles…

 Discours long…et verbeux. Une heure trente pour dire qu’il est Président de la République. Nous le savions déjà et cette monarchie Républicaine déployée chez le Roi Soleil fut ennuyeuse. Pourtant il aurait du me plaire! Son profil de visage, son nez, ses mots, c’était Alphonse de Lamartine grand orateur et poète qui reçu le score de 1% lors de sa candidature, jadis, à la présidence de la République. Certes le président Macron fut élu avec un premier tour à 23%, c’est plus  glorieux, mais la philosophie était de même facture, sans thèmes nouveaux après ses propositions de campagne. Tout était connu et les détails ne sont pas venus. Peut être demain son 1er ministre, Edouard Philippe, dévoilera-t-il les clefs des grandes réformes nécessaires pour faire bien fonctionner la France.

Tout est finalement convenu. Mais où est donc le renouveau ? Bien sur des visages nouveaux, mais à bien regarder, la sociologie de l’Assemblée Nationale n’a pas évolué, au contraire, et manque aujourd’hui une représentation d’une population les plus touchées par les difficultés sociales, humaines, d’emplois, de ruralité…Les oppositions sont dans l’incapacité de modifier le cours de la déferlante Macron. Je crains bien sur que l’absentéisme parlementaire s’accélère et porte préjudice à la perception du public sur toutes les institutions politiques dont la France ne peut se séparer.

Il ne me plait pas de souhaiter un échec de la présidence. Mais ce n’est pas en se mettant en scène chez Louis XIV qu’il peut impressionner le peuple. Je fus de la « fête » plusieurs fois pendant mes vingt ans de député, convoqué au congrès. Spectaculaire la première fois pour chaque individu que nous sommes, transportés pour faire cour…

Et c’est pourquoi j’attendais le lendemain d’être en tribune pour écouter le Premier Ministre, seul orateur autorisé devant les parlementaires de l’Assemblée à poser la question de confiance, et de recueillir les réponses des groupes sur le champ, ainsi que d’y répondre en finalité. Et je fus déçu par ce discours qui ne fut jamais aussi fort et mobilisateur que ceux de ses illustres prédécesseurs. Un grand catalogue de déjà proposé, de déjà retiré, de probable mais pas sur. Il me manquait l’emploi ! Fort. Mais il n’est jamais venu…Un été studieux permettra certainement à Edouard Philippe de se renforcer. Utile pour une rentrée annoncée chaude dans un non-conformisme parlementaire qui plait à certains électeurs, genre débraillé en séance, ou mordant le chauffeur de taxi, qui se calmeront cependant rapidement,car les adeptes de E Macron, lovés dans un grand centre au Palais Bourbon, vont obligatoirement se découper en plusieurs tranches dans un centrisme hétéroclite d’où émergera  notamment un centre droit de type « Union Démocratie Française ». Le même qui a disparu sous l’UMP, puis achevé par « Les Républicains »qui ne peuvent être étonnés, tout en recherchant les erreurs qui ont précipité en un an, comme au PS, des partis structurés dans l’abîme, durablement.

Les partis de la droite et du centre ont aujourd’hui en cousinage une bonne partie des députés d’un parti qui n’est pas encore posé sur les fonds baptismaux. Il ne le sera qu’à la rentrée, peut être.Il prendra racine partisane au sein d’un groupement qui ne voulait pas être un parti. Mais en notre beau pays, nous n’échappons pas pour la gouvernance de la France, au parti politique dominant.Un pari pour un parti ? Touchez là !

Gérard Voisin

Député-maire Honoraire de Charnay Saône et Loire

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Poursuite d’une longue histoire d’eaux usées

Cette page est un « porté à connaissance » qui n’est que le prolongement des informations livrées par la presse locale et départementale, ou par mon blog gerardvoisin.com

Cette plainte n’a pas été classé « sans suite ». Le temps nécessaire s’est écoulé pour ouvrir droit à se porter « partie civile ». Un juge d’instruction au TGI de Mâcon devrait être nommé dans les meilleurs délais, j’userai donc de ce droit.
La moralisation de la vie publique est en marche, et je crois que rien ne pourra l’arrêter surtout avec la nouvelle appellation de la loi qui parle de « la confiance dans la vie démocratique ». Surtout lorsqu’il s’agit de l’argent des contribuables de villes que vous avez servi pendant trois décennies.

Monsieur Gérard VOISIN
né le 18 août 1945 à Mâcon (71)
de nationalité française
Demeurant : 60 ter La Coupée
71 850 Charnay les Mâcon

Madame Karine MALARA
Procureure de la République
Palais de Justice
8, rue de la Préfecture
71000 MACON

CHARNAY les MACON, le 8 juillet 2016

LETTRE RECOMMANDEE AVEC AR

Madame La Procureure de la République,

Par la présente je viens déposer plainte entre vos mains, à l’encontre de :

* Monsieur Jean-Patrick COURTOIS, maire de Mâcon

* Monsieur Jean-Louis ANDRES, maire de Charnay les Mâcon

* et contre X (toute personne co-auteur ou complice que l’enquête
viendrait à découvrir)

Pour les faits suivants :

J’ai exercé les fonctions de maire de Charnay les Mâcon de 1983 à 2014.

Dans ce cadre, j’ai été conduit à conclure le 6 février 2012 avec la commune voisine de Mâcon et le Syndicat intercommunal pour le traitemen des effluents de l’agglomération mâconnaise (SITEAM) une convention aux termes de laquelle :

* les eaux usées de Charnay les Mâcon sont évacuées via le réseau d’assainissement de Mâcon, en contrepartie d’une redevance de la commune de Charnay à celle de Mâcon,

* étaient prévues de lourdes pénalités financières envers la Ville de Charnay en cas de dépassement des seuils d’acheminement d’effluents de Charnay-lès-Mâcon par Mâcon via le réseau d’assainissement.

Lors de la campagne pour les élections municipales de 2014 où je ne remettais pas en jeu mon mandat, Monsieur Jean-Louis ANDRES, tête de liste, ainsi que Monsieur Parick Buhot, tête d’une autre liste, ont critiqué publiquement entre les deux tours ma gestion de cette convention, après s’être rendus entre les deux tours à la Mairie de Mâcon, comme en attestent les coupures de journaux relatant les déclarations des deux candidats cités.

En effet, je n’avais jamais reçu de commandement à payer une somme pour l’année 2013, somme qui n’a d’ailleurs pas été payée par celui qui est devenu successeur, Monsieur Andrès, mais qu’il annonçait à hauteur de 941 500 euros dans un article du « Journal de Saône et Loire » en date du 2 avril 2014. Seul
un titre exécutoire de 242 000 euros pour 2012 a été payé par la ville de Charnay sous la signature de M Andrès.

En effet, d’autres montants n’ont pas été réglés, puisque là encore le Maire de Mâcon n’a très probablement pas émis de titre, il s’agirait de 434 000 euros pour l’année suivante, et de sommes hors de ma connaissance jusqu’à ce jour mais qui pourraient avoisiner les deux millions d’euros.

En pièce jointe, je vous transmets copie du courriel que m’a adressé Madame Christine Tanguy, Receveur du Trésor pour la Ville de Charnay, comme peuvent l’être tous les documents que j’ai été amené à produire dans cette quête de vérité depuis maintenant quelques années.

Ainsi en application de « petits arrangements entre amis », Monsieur Jean-Patrick COURTOIS semble bien avoir renoncé, depuis avril 2014, à réclamer quelque somme que ce soit à celui qu’il soutient, son homologue de la commune de Charnay les Mâcon, au titre d’une créance pourtant incontestable, ayant maintenu la convention que je voulais voir dénoncer, mais qui s’applique toujours.

Ce faisant, la municipalité de Mâcon soutient artificiellement celle de Charnay, en faussant les comptes et les budgets des deux communes puisque cette économie de maintenant quelques deux millions d’euros, permet probablement à la municipalité de Charnay d’avoir un budget à l’équilibre et de dégager des sommes qu’elle ne pourrait peut être pas engager puisque les dites sommes auraient dû être consacrées au remboursement d’une dette, dont le créancier « oublie » le recouvrement.

Ainsi les mâconnais seront-ils effarés d’apprendre que, tandis qu’ils rencontrent pour la plupart, des difficultés à payer leur taxe d’habitation ou leur taxe professionnelle, et pour certains sont poursuivis pour leur recouvrement; et tandis que le maire de Mâcon explique qu’il va devoir augmenter les impôts locaux de manière sensible, pour soi-disant pallier au désengagement de l’Etat dans les financements locaux, d’un autre côté, c’est une somme de maintenant quelques deux millions d’euros, dont il prive volontairement les finances de la commune de Mâcon, pour satisfaire à de petits arrangements personnels.

Je conçois qu’il soit toujours délicat de demander de l’argent à un ami qui vous en doit. Mais en l’occurrence, il ne s’agit pas du propre argent de Messieurs Courtois et Andrès mais d’argent public avec lequel on joue ainsi !

Ma préoccupation est que la convention entre la ville de Mâcon et celle de Charnay, subsistera au départ de Messieurs Courtois et Andrès. Qu’arrivera t’-il alors ? Le successeur de Monsieur Courtois pourra fort bien présenter une facture écrasante de plusieurs années d’impayés, au successeur de Monsieur Andrès -ou à Monsieur Andrès lui-même s’il était réélu.

Quelle sera alors la réaction des citoyens Charnaysiens quand ils apprendront qu’ils ont accumulé une dette énorme parce que leur commune a bénéficié d’une mansuétude indue de la part de son homologue mâconnaise et dont on peut imaginer les motivations?

Quelle sera la réaction des habitants de Mâcon, quand ils découvriront que leur Maire s’est volontairement abstenu de réclamer une créance de plusieurs millions d’euros, qui risque fort de devenir irrécouvrable, faute d’avoir été réclamée et perçue en temps utile ?

Il n’est pas admissible de laisser Messieurs Courtois et Andrès, disposer ainsi à leur guise, selon leur bon vouloir, des comptes publics.

De surcroît cela conduit une commune, Mâcon, en dehors de toute base légale, à assumer gratuitement le retraitement des eaux usées d’une autre commune, Charnay.

Ces faits me semblent relever d’une qualification pénale de par l’article 432-15 du Code pénal.

En effet, un maire qui renonce à réclamer une créance, laissant ainsi s’accumuler sciemment une dette par son débiteur, jusqu’à la rendre irrécouvrable car prescrite ou devenue pharamineuse, n’use t’il pas d’un moyen indirect pour soustraire des fonds publics ?

Ces faits pourraient également ressortir de la prévention de l’article 435-1 du Code pénal :

Monsieur Courtois est, comme d’ailleurs Monsieur Andrès, investi d’un mandat électif de maire.

Pour des considérations politiques, il s’abstient d’accomplir un acte de son mandat puisqu’il renonce volontairement à réclamer son dû à son homologue de Charnay les Mâcon Monsieur Andrès, hors de toute base légale.

Je dépose par la présente une plainte au pénal sur ces fondements à l’encontre de Monsieur Courtois et de Monsieur Andrès et contre X.

Je demeure à votre disposition pour m’en entretenir avec vous.

Dans l’attente des suites que vous voudrez bien faire réserver à cette affaire,

Recevez, Madame la Procureure, mes salutations respectueuses et les meilleures.

Gérard Voisin

Contribuable de Charnay les Mâcon
Ancien maire de Charnay Les Mâcon

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Entre deux tours de la Présidentielle


Paris, la politique, partis meurtris à Paris. Et la province ne le sait pas encore. L’Assemblée Nationale (j’y étais aujourd’hui mardi comme chaque semaine), montre à l’évidence des parlementaires désorientés, hésitants. Socialistes et Républicains se méfient de la vague « Macron »qui s’est abattue sur leurs circonscriptions, conjointement à celle de Marine le Pen. Seulement treize jours pour les calculs et spéculations non plus de duels, mais de triangulaires voire quadrangulaires. Un goût de jamais vu qui sent en finalité la quatrième République.

Sauve-qui-peut quasi général en attendant les candidats du probable Président de la République. Les candidats ou les « sortants » encore en cumuls et qui n’ont pas déjà choisi entre leurs exécutifs locaux et un siège à l’Assemblée Nationale sont les plus hésitants dans une configuration encore plus compliquée qu’il n’était imaginé par les états majors. La direction à prendre est rendue difficile par l’absence ou la multitude de responsables des deux principaux partis français.

Les investitures comme celles données chez « Les Républicains » sous N Sarkozy, puis sous F Fillon ne sont plus en phase avec un désastre de renouvellement annoncé qui laisse espérer une petite centaine de députés au groupe « Les Républicains » sur les 199 d’aujourd’hui et une majorité absolue promise encore avant le premier tour et seulement gagnée dans les esprits à l’issue des primaires de la droite et du centre après la victoire triomphante de François Fillon.

Les ralliements préventifs ne sont plus contrôlables à l’heure où des personnalités politiques comme Bruno Le Maire offre ses services directement au candidat Macron pour un poste de ministre et pourquoi pas le premier… »Chacun pour soi » assuré et non plus « un pour tous, tous pour un » le bien connu. Désespérant pour qui est habitué à des choix collectifs depuis bien des années.

Devant une telle débâcle et une telle confusion due à une non gestion par les hiérarchies, nationales et départementales irrécupérables avant l’ouverture des élections législatives, me conduisent à confirmer ma candidature sur la 1ère circonscription de Saône et Loire marquée depuis 2012 et jusqu’à la chute de Th Thévevenoud aujourd’hui consommé, en passant par la déchéance par le Conseil Constitutionnel de JP Courtois de son siège de sénateur. J’ai bien senti avant d’autres ce qui allait se passer. Nous y sommes. Je voterai à titre personnel pour Emmanuel Macron, sans avis ou consigne de vote à celles et ceux qui me font l’honneur de me demander conseil sur le fait de contrer la victoire de Marine le Pen. J’ai confiance, toujours en la démocratie qui finit toujours par triompher. Je ne vais pas à « la soupe ». Si j’avais dû le faire, j’y serais allé avant. Mais je retrouve avec le panorama d’aujourd’hui, sans regarder les désertions des uns et des autres, un sentiment centriste qui fut le mien lorsque j’appartenais au groupe UDF avant la disparition de celui-ci au profit de l’UMP. Je suis un « républicain Indépendant » incontestablement. Libre de toute allégeance.

La sagesse doit être à l’ordre du jour. L’expérience doit l’être également, au moins pour un quinquennat et pour une législature. Cette législature qui peut n’être que de courte durée si la cooptation multiple apporte une instabilité parlementaire qui ne ressemblerait à aucune autre au cours de la Vème République.

Redevenu député de Saône et Loire, je servirai sans concession l’Exécutif de la France. Sans compromission ni boulets aux pieds. Comme toujours, dans l’honnêteté, la probité, la compétence et la transparence. Un dernier combat, propre pour faire, quoi qu’il arrive, gagner la France!

Gérard VOISIN

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Les concurrents disparaissent…D’autre vont suivre au prochain numéro !

   Pourquoi n’a-t-il pas choisi la voie de son « pair », de son « frère », le célèbre Cahuzac ? Il l’a pourtant démoli à la commission « anti-fraudeur » de l’Assemblée Nationale. Ce dernier fut plus malin, et pour échapper à la  déchéance parlementaire, comme d’autres à l’AN et au Sénat, démissionna de son siège pour une meilleure situation dans une adversité qui conduit irrémédiablement à l’opprobre général, et au choix tardif de l’habit noir des prétoires, ou plus simplement à l’apprentissage de la comédia, celle dell’arte politique…avec déchéance possible à la clef.

Dans l’attente d’un verdict acté en pleine période de campagne législative en mai, campagne dont il a justement refusé l’obstacle avant une inéligibilité quasi  certaine de cinq ans, d’un possible verdict de sursis de prison d’un an, et autres paiements en souffrances, il est avec son épouse, conjointe dans l’affaire, Thomas Thévenoud, comme à son habitude, sauf celle de briguer un nouveau mandat de député, se la joue » petit bonhomme en mousse, décomplexé comme si tout cela était sans conséquences.

Il laissera passer le temps, temps qui manquera par contre à d’autres qui sont d’une génération qui n’a plus le temps d’attendre, elle ! Et puis, il redémarrera tel l’oiseau de sa branche. Cependant, ce qui est grave pour les traditionalistes, c’est que cette situation à gauche, est gravement copie conforme avec celle de droite dans une circonscription pourtant paisible habituellement, comme la 1ère de Saône et Loire, à Mâcon/Cluny. Deux déchus, cela ferait mauvaise image dans les grands miroirs de Bourgogne Franche-Comté du Sud …

Attente du verdict à l’encontre des époux Thévenoud,suivi de celui de la République lorsqu’elle aura proclamé son champion, nous voici, électrices et électeurs, administrés, dans l’expectative de la représentation nationale, que l’on espère sereine après beaucoup de turbulences en pays Lamartinien. Un pays où je n’oublie pas ce qui m’a fait, ce milieu prolétaire « sain et généreux » pour une puissante force vitale.

Nous sommes donc, comme je l’avais attendue dès 2012, en attente du verdict d’une réélection de député que je sens toujours en moi, après une pause où les « déchus », en pleine vague rose de 2012 aujourd’hui sur le sable, ont trouvé un terrain propice pour bouger un socle qui aujourd’hui a retrouvé son assise. Les situations politiques ne sont que cercles concentriques, et quand la boucle est bouclée, le rose s’estompe et l’arc en ciel libère les couleurs de la démocratie.

Qu’elles sont belles les couleurs de la République lorsqu’elles sont lavées de multiples souillures  et retrouvent l’honneur, la probité, la transparence et une sérieuse compétence.

Gérard Voisin

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« Airs de campagnes » « Roadbook – Carnet de campagne » 1ère circonscription de Saône et Loire

         C’est fait ! Je ne soutiendrai que la « droite et le centre ».

Pas de nom cité comme l’a fait l’ancien Premier Ministre Vals en proclamant qu’il voterait Macron. Nous ne sommes peut être pas très futés ou affutés dans le métier, nous les politiques de belles Provinces. Cependant nous avons notre honneur (enfin, la plupart…), et pour ma part, je ne serai parjure à aucun prétexte.

Ayant passé des décennies électives dans la probité avérée et reconnue par les autres,, je ne supporte pas les mensonges de ceux et celles qui réussissent à vendre leur morale pour un siège, de quelque taille qu’il soit, et particulièrement pour les sièges « d’en haut ». J’ai combattu l' »ex » très court ministre Thomas Thévenoud qui m’avait sorti après vingt ans, de celui de la circonscription de Mâcon, avec l’aide d' »anciens amis » peu scrupuleux de la déontologie partisane UMP, et de surcroit peu amicaux. Passant sur d’autres amabilités destructrices avant tout la encore partisanes mais aussi personnelles.

Mon « socle » comme l’appelle les chroniqueurs très médiatiques et les sondeurs existe carrément, car mon score 2012 en « vague PS rose » me laisse tout espoir de légitimité, confortée par l’abandon du député PS précité, et une campagne présidentielle chaotique s’il en fut,qui laisse à penser que la majorité parlementaire sera probablement un Parlement inattendu…

La droite et le centre avait « déjà gagné » il y a deux ou trois mois, après primaires décidément meurtrières. Chacun alors s’emparant des plumes du paon dans certaines sphères, écartant qui pouvait faire de l’ombre, notamment par des prises de responsabilités de soutiens qui soudain s’effondrèrent et sont toujours effondrés. Aucun soutien n’est venu porter François Fillon par des gens qui voulaient avant tout redorer leurs blasons souillés ou naissants. Où sont ils aujourd’hui, comme chez nous en Saône et Loire ?

Mais on ne se refait pas une santé politique en jouant de tels jeux sur fonds de déchéance sénatoriale, de pertes d’élus locaux de vos équipes municipales via les justices administratives et pénale. Pas plus avec des épées de Damoclès qui sifflent aux oreilles, ou l’incapacité de faire face aux obligations législatives du cumul lourd de mandats. Il serait plus « confortable » de conserver les mandats en cours que de risquer un échec annoncé et assuré par le retour du boomerang.

Ayant placé le sabre sur le cou à gauche, l’ayant placé à droite, je ne passerai pas sous silence dans ce monde très troublé, la situation catastrophique aux présidentielles sur le plan de la probité, de la transparence, de la fierté défaite, de la perte d’autorité des hiérarchies partisanes qui font que même les investitures sur les circonscriptions ont volé en éclats; avec le drôle de parti  de E Macron qui réussit l’exploit de mettre en place 577 candidats qui pourraient donner la création d’un panel du genre: « petit centre droit, grand centre gauche et PS plus ou moins repenti. Alléchant pour un ancien UDF…Mais je n’irais pas à »Canossa » pour tout cela! Se regarder dans une glace, et rester soi-même. Comme tout au long de mon parcours. La droite et le centre à défaut de faire des efforts au delà des limites que je m’étais données, est ma famille politique. Mais le candidat n’attendait rien de moi, alors que je lui donnais encore.

Hier soir était la date limite, la date de préemption, et ma porte s’est refermée à l’annonce de la mise en examen de Madame Pénélope Fillon. Cette dame est une victime. OUI, j’ose. Elle est victime de systèmes que je réprouve pour les connaitre sans jamais avoir voulu les pratiquer ! Femme, enfants, petits enfants, la famille quoi! La vraie famille qui prime sur la politique surtout aux meilleurs niveaux. L’honneur de leur défense surtout lorsque l’on est le patriarche. On peut crier aux loups contre des tas de gens. On ne peut pas s’assoir sur cette honneur là. Plus encore pour un simple député de province qui n’est pas candidat à la magistrature suprême Française, mais simplement candidat à sa propre reprise d’un siège que la droite et le centre n’aurait jamais du perdre en 2012. Et bien sûr, assurer le nettoyage…

C’est pourquoi je voterai POUR la droite et le centre.

Gérard VOISIN

« Les Républicains ». Libres

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PANURGE

Panurge, personnage de fiction de François Rabelais, est connu pour l’un de ses hauts faits le plus célèbre qui est d’avoir jeté un mouton d’un bateau, afin que le reste du troupeau se jette à la mer. Une autre formule est celle d’un mouton qui sauta d’une falaise, et tous les membres du troupeau, dans un suivisme aveugle se précipitèrent dans l’écume.

Rabelais n’est pas La Fontaine et ses fables. Cependant je crains que nous ne vivions en ce moment en notre chère politique Française, un remake bien réel, par vagues successives, et ceci avec plusieurs groupes qui ne sont pourtant pas des animaux…

Il est temps qu’un berger, ou plusieurs, sifflent bruyamment l’arrêt de cette course effrénée vers l’abîme de la droite et du centre. Un mois de questionnement et tout le monde tourne en rond. Aujourd’hui, jour où Monsieur Macron sort son projet présidentiel dont certains pensaient qu’il n’existait pas, une bulle (ce n’est pas mon avis…), à Paris, ou dans les départements, aucune force de direction n’est à l’oeuvre via les hiérarchies nationales et locales. Dans les départements, certains comités de « soutien » sont sous la table. Interrogés par la presse quotidienne régionale (PQR), le Journal de la Saône et Loire pour le 71, sont aux abonnés absents car ils ont peur pour leurs campagnes législatives investis par François Fillon, et déjà bien empêtrés par de gros cumuls de mandats et autres problématiques de probité et d’inéligibilité.

A droite et au centre, chacune et chacun coure dans tous les sens. Le Bureau Politique National de l’UMP n’a pas hésité à trancher la sortie de Jean-François Copé, avec violence verbales, après que la guerre intestine avec François Fillon ait fait des ravages énormes qui perdurent encore. Si le bureau politique national avait tranché, par stop ou encore la poursuite de la campagne sous la bannière Fillon, Les Républicains ne seraient pas en train de se déchirer gravement. Et c’est le socle principal de la candidature Fillon. Il est inutile de rester sur le statu-quo ou de s’en prendre à quelqu’un d’autre du camp de la droite et du centre, à la justice, ou au manque de soleil d’un printemps qui n’arrive pas assez vite, ou bien encore au « sexe des anges » ! La campagne présidentielle va se passer sans nous, c’est simple comme de dire bonjour…

Les personnalités politiques qui réclament des responsabilités, qui les reçoivent ou se les octroient, doivent ensuite tenir la rampe! Je critique le fait que ce ne soit pas le cas, uniquement pour des raisons personnelles de survie politique. Rien de collectif dans la démarche. Ce qui fait qu’une « personnalité sans parti » comme Monsieur Macron est accompagné de 300 000 adhérents, d’origine hétéroclite, y compris pour les élus qui l’ont rejoint, le portant ainsi dans ce qui ne reste que des sondages, bientôt devant Marine Le Pen. Nous ne seront pas qualifiés à ce train là !!!

N’étant qu’un « petit » dans la hiérarchie, j’ose malgré tout donner mon avis, mais sans pouvoir influer sur la lourde machine. Les faits sont là, ils s’imposent. Alors ce constat personnel étant fait, il me reste de lutter à la mesure de mes moyens, que François Fillon reste où non candidat. Nos chances de gagner s’amenuisent, et pourtant je suis toujours fort optimiste (la sagesse par l’âge reste un privilège qui doit lutter parfois contre les incartades du jeunisme…). Candidat aux élections législatives de juin sur la 1ère Circonscription de Saône et Loire, j’ai déjà engagé ma campagne, soutenu par des « Républicains » de parti, des Républicains Français, adhérents ou non, des amis dont la couleur politique importe peu pourvu qu’ils soient sincères, des sympathisants … Ce qu’il nous faut, au delà de la Présidence de la République, c’est un Parlement Français fort, capable de faire plier l’Exécutif lorsque celui ci est en passe de faire dérailler le train, ou de le soutenir dans ses bonnes actions en faveur du peuple Français. Je connais parfaitement le fonctionnement du Parlement et particulièrement de l’Assemblée Nationale. Je souhaite être « un passeur », avec une suppléance jeune prête à tout moment à prendre la relève en cas d’empêchement ou de nécessité.

J’ai placé ma candidature dans le cadre d’une représentation où travail et probité ont été et restent les maitres mots de mon dernier engagement politique. J’ai lutté personnellement contre les errements d’ élus de gauche mais aussi de droite. Et je continuerai pour que je puisse redonner le siège à la droite et au centre que Thomas Thévenoud  m’a ravi en 2012, c’est mon but gagnant. Mes soutiens m’assurent que je suis le candidat LÉGITIME. Je m’engage donc à gagner.

Il est évident que je m’engage après cette dérégulation sans précédent dans la préparation parlementaire collective partisane, à être dans un esprit GAGNANT et non pas de témoignage. J’espère que beaucoup de concurrents seront dans le même état d’esprit.

Sous la bannière « LES RÉPUBLICAINS » , libres et indépendants,

Gérard VOISIN

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Dans la mare, il y en a marre !

Les mensonges de tout le monde se mélangent et la politique n’existe plus. Défunte la belle politique de papa, et à grande pelletées elle est jetée dans une fosse commune peu ragoutante. La France se noie, la France se meurt de sa démocratie bredouillée puis bafouée. Autre chose qu’un marigot ? Suis je excessif ? Suis je insultant par rapport aux protagonistes ? Non. La République patauge sur fonds de pouvoirs. Le premier, le deuxième, le troisième et le quatrième. On peut se demander si un cinquième pouvoir ne s’inventera pas s’il ne l’est pas déjà !

Oui, j’en ai marre que les partis politiques qui ont confisqué la démocratie ces dernières décennies terminent aussi piteusement leur vie, dans toutes sortes de délitement qui font fuir les adhérents, les militants et même les sympathisants. Les pratiques ont changé et tout s’accélère pour retrouver une véritable éthique. L’impunité n’est plus supportée par le public. Le public réclame la transparence totale. Tous les élus ne le souhaitent pas, moi si. La probité n’a pas d’âge, la probité ne s’use pas avec le temps. Vous naissez ainsi, et vous devez garder le cap, ne pas en varier en chemin. Certains trichent toute leur vie, nous pouvons voir des déchus de tous âges. Ceux-ci n’ont plus leur place dans la renaissance de la vie publique.

Il est besoin de sagesse, d’un retour au calme, d’un retour à la franchise impératif, avec des bases solides, confirmées, pour reconstruire avec un personnel jeune, préparé à la relève par des « passeurs dignes » et qui n’enfile pas le vieux manteau usé de pratiques devenues insoutenables.

L’élection présidentielle doit se presser de produire de l’oxygène, de « produire » un président(e) de la République Française qui conduise avec une vision claire un projet de visibilité qui convienne au peuple de France. Puis notre nouveau guide, comme toujours ne pourra se passer d’un certain nombre de chevaliers blancs qui constitueront la solidité de l’édifice parlementaire qui devra compter un minimum de « frondeurs » comme ce fut le cas pendant le quinquennat de François Hollande. La 5ème République exige un couple solide entre le Président et son 1er Ministre. Mais aussi un rapport qui ne soit pas de force avec une majorité au Palais Bourbon issue de partis politiques modernes comme le réclame cette République, contrairement à ceux de la quatrième, mais avec une liberté législative qui soit productive, de contrôle, éventuellement de sanction.

Rien n’est stabilisé aujourd’hui dans la gouvernance par le monde. Et le pire n’est pas loin d’être chez nous. Il nous faut remonter toutes les pentes. Ces élections sont notre dernière chance. Ne choisissez pas le hasard comme ce fut le cas en 2012. Point de candidat avec des boulets, ni droite, ni gauche, pas plus au centre.

Ne choisissez pas l’eau de la mare, elle est devenue imbuvable. Un retour aux sources s’impose.

Gérard VOISIN     Député Honoraire de Saône et Loire

Candidat aux élections législatives 2017,

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Calendrier janvier 2017 Gérard VOISIN

Madame, Monsieur,

Mon calendrier 2017 est ouvert. Vaste programme patiemment préparé sans interruption  dans l’après 2012, avec un point fort en 2014 pour conforter la nécessité de ne jamais baisser la garde devant des successions hasardeuses, que ce soit avec Thomas Thévenoud à l’Assemblée Nationale, ou Jean-Louis Andrès à la mairie de Charnay.Janvier 2017, le mois des clarifications qui débuteront par mes remerciements aux Charnaysiens pour mes trente et un ans de Maire à plein temps de cette belle ville. Je n’ai pas eu la possibilité de le faire, ainsi qu’aux personnels municipaux, aux villes jumelles, aux associations, aux particuliers, à toutes les parties prenantes et participantes de la vie d’une commune de France.

Pourquoi seulement maintenant? Pourquoi trois ans plus tard recevoir l’honorariat que je ne souhaitais pas en avril 2014 en tant élu local, pas plus que la Légion d’honneur d’ailleurs? Pourquoi à mi-chemin du mandat municipal en cours et sur lequel je n’ai pas choisi de monter en laissant la place à ma jeune équipe de la droite et du centre? En seulement trois questions, mille réponses à apporter… Mais sans être emporté, rassurez vous, par le flot de mots superflus comme trop souvent en politique, comme de mensonges…

Janvier 2017, c’est annoncer ma candidature aux Législatives de juin 2017 sur la 1ère circonscription de Saône et Loire, celle du Mâconnais-Clunisois, et le mois de faire monter en puissance ma campagne sous la bannière « Les Républicains ».
Janvier 2017, c’est me porter partie civile contre les maires de Mâcon et de Charnay les Mâcon ainsi que contre X pour trafics d’influences dans l’affaire des factures « oubliées » à hauteur de 1 753 000 euros.
Janvier 2017, c’est refuser l’anormale léthargie de la « Fédération 71 du Parti Les Républicains » surtout en ces périodes électorales, alors que cela dure depuis des années et dont les responsables nous ont mené à la déroute de 5 circonscriptions sur 5 en Saône et Loire au profit du Parti Socialiste.
Janvier 2017, c’est rafraichir la mémoire sur le fait que l’appellation déposée du Parti politique « Les Républicains » a son siège en Saône et Loire et se trouve être prioritaire chronologiquement sur celui de la Rue de Vaugirard à Paris, déposé par Nicolas Sarkozy qui voulut changer le nom de notre Parti, l’UMP.
Aucune vengeance n’a sa place dans ce programme en ce qui nous concerne. Seulement une immense envie de remettre les choses dans l’ordre et dans la propreté obligatoires qui sied plus que dans toutes autres disciplines.
Au plaisir de vous retrouver à mes côtés pour des combats d’autant plus valorisant qu’ils seront difficiles.
Gérard VOISIN
Membre Honoraire du Parlement
60 Ter La Coupée-71 850 Charnay les Mâcon
06 50 28 23 35
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Une très bonne année 2017…

Cheres amies, amis. Madame, monsieur.

Nous sommes en 2017, premier jour d’une année qui comme chaque année est à l’évidence, parmi les plus importantes de notre vie…
Il faut toujours en être persuadé car c’est la meilleure préparation à réussir pour soi même et plus encore pour celles et ceux qu’on aime, une année qui vient de naitre depuis quelques heures seulement.
Une goutte d’eau au regard de l’immensité d’une année qui sera riche en événements, beaux, enthousiasmants, parfois cruels hélas…Mais le soleil revient toujours lorsque l’on croit profondément en soi! Attendre des autres, oui et c’est tellement normal. Engager sa vie pour mieux recevoir des autres en complément c’est formidable pour celle ou celui qui reçoit, ça l’est pour celle ou celui qui donne.
Cela commence aujourd’hui cette belle année pour vous, pour nous. Afin de bien commencer l’année, j’attends le 1er janvier pour présenter mes voeux à ceux qui veulent bien les recevoir.
De santé d’abord, car sans elle rien n’est doux dans notre vie et celle de ceux qui nous entourent.
De bonheur sous toutes ses formes.
De paix, proche ou lointaine. La paix est essentielle pour aimer son prochain comme soi-même comme il a été dit, et pour le vivre ensemble. Réussite économique sans qui la « couverture » sociale se déchire et ne protège plus les plus démunis.
La liberté, l’égalité et la fraternité sont des mots bien Français que j’ai défendus toute ma vie. Et je continuerai. Ces trois mots résument bien depuis la révolution Française notre « carnet de route ». Ils sont si souvent oubliés depuis.
Alors, en chacun de nous doit s’opérer notre propre révolution. Une révolution pacifique et la plus intelligente possible.
L’idée de la Révolution Française, c’était la chute des privilèges. Je crois que cette visée n’est pas totalement atteinte au Pays qui passe pour la nation de l’égalité, aux yeux du monde. Difficile d’accéder au parfait, mais nos gouvernants ne peuvent plus, pour accéder au pouvoir et le garder, de gauche, de droite où du centre ou d’ailleurs, négliger les principes DE BASE de notre Constitution.

Vive 2017, dans un vivre ensemble qui commence par le respect de soi-même pour savoir respecter les autres, tous les autres dans un cadre clair. Nous entendons en ce moment que 2017 est l’année de la dernière chance…Je veux bien le croire, mais à une condition, c’est que l’on prenne à bras le corps le bonheur de tout le monde, à commencer par celui des Françaises et des Français…non par égoïsme. Pour l’exemple attendu de nous et sérieusement « ébréché ».

Tout le monde ne peut pas s’aimer. Mais personnellement, je le dis ce matin, comme d’habitude à ma famille, mes amis, à tous mes proches. Mais je le dis sincèrement à toutes celles et tous ceux qui veulent bien l’accepter…

Gérard Voisin